A propos de ce blog


Nom du blog :
solitude
Description du blog :
slt tt le monde :) laisse des coms
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
13.08.2006
Dernière mise à jour :
18.08.2006

RSS

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Solitude (68)
· Humour (39)
· EvAnEsCeNcE (11)

Navigation

Accueil
Gérer mon blog
Créer un blog
Livre d'or solitude
Contactez-moi !
Faites passer mon Blog !

Articles les plus lus

· .
· solitude
· silence et solitude
· Going under
· .

· .
· .
· .
· .
· .
· .
· Fields of innocence
· .
· Breathe no more
· .

Voir plus 

Statistiques 118 articles


Derniers commentaires

il y à des chats dans mes poémes passe voir mon bloglien vers mon blog
Par rimesoudeprime, le 18.03.2007

joli fleur
Par tristèsse22, le 16.08.2006

ptit wazo keske t fé seul la?
Par tristèsse22, le 16.08.2006

les problemes ns oublige de dormir dohors la maison
Par tristèsse22, le 16.08.2006

slt princèsse
Par tristèsse22, le 16.08.2006

Voir plus

RSS
Recherche

sombre solitude

sombre solitude

Publié le 13/08/2006 à 12:00 par solitude
sombre solitude
Oh! Comme le ciel est sombre vu d'ici,
même le feu est sans lumière.
Que mes yeux sont obscurcis!
Pourriez-vous m'indiquer où se trouve l'enfer?

J'éprouve un si grand mal aux épaules,
elles ont dû s'effondrer sous le poids de ma vie.
Mes lourds pas laissent le silence inassouvi,
même le vent semble avoir abandonné son rôle.

Cet endroit est si étrange et si froid,
tout comme mon anniversaire oublié,
dans ce placard où je me fis fête seul et droit;
la musique, muette de ma respiration saccadée.

L'effroi soudain et pervers m'éventre,
me suis-je égaré de mon chemin dernier?
Pourquoi n'y a-t-il personne, que Diantre!,
dans ce triste lieu sinistré?

Mon œil s'abime dans le gouffre du ciel,
mais n'y trouve consolation aucune.
Mon cœur amer de rancune,
s'abandonne à ce vide démentiel.

La chute infinie me comble de peine,
la Solitude est poignante et m'emmène,
au-delà des raisonnements suicidaires,
où elle m'embrasse et me serre.

La violence des mots échangés,
noue encore ma gorge déplorée.
La Fatalité qui me hantait enfin me taillade,
et je lui cède mon âme qui s'évade.

Même mes souhaits de mort les plus chers,
n'auraient d'une telle soif su m'épancher
et n'auraient rongé ainsi ma chair,
comme le tragique de cette obscure immensité.

Enfin! je suis ravi à cette vie salie des vandales!
Et l'unique amie que j'aurai jamais sera donc la Mort,
car Elle seule partage cette peine abyssale,
que provoque la Solitude dans un cœur d'or.